AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
-29%
Le deal à ne pas rater :
PC portable – MEDION 15,6″ FHD Intel i7 – 16 Go / 512Go (CDAV : ...
499.99 € 699.99 €
Voir le deal

 

 Kamijo ~ The Curse of the Rose.

Aller en bas 
2 participants
AuteurMessage
Kamijo

Kamijo


Messages : 31
Date d'inscription : 22/10/2012
Localisation : Au lycée, salle de littérature.

Kamijo ~ The Curse of the Rose.  Empty
MessageSujet: Kamijo ~ The Curse of the Rose.    Kamijo ~ The Curse of the Rose.  Icon_minitimeLun 22 Oct - 20:42

† Kamijo †

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
(Versailles )
Présentation rapide

Nom : Kamijo Yuuji (On l’appellera Yuuji-sensei au lycée, please)
Age : 29 ans
Rôle : Professeur de littérature au lycée (classes littéraires)


Pour plus de détails

Caractère ( aime/déteste) :


Kamijo est le calme incarné. Il donne l’impression que rien ne peut l’attendre car il est toujours, absolument toujours, d’une humeur parfaitement égale, que ce soit si l’on essaie de le mettre en colère ou de le rendre triste. Il a toujours un drôle de sourire aux lèvres dans ces moments là, le sourire de « j’ai de la peine pour toi », mais pas de manière méprisante, seulement « comment pourrais-je faire pour t’aider ? ». En parlant d’aider, le jeune homme est toujours prêt à tout tenter pour aider les personnes auxquelles il tient. Il est facile à vivre, gentil, très tendre en amour, particulièrement tactile surtout pour un japonais sans être lourd non plus. Côté défauts (il faut bien qu’il en ait), il est très facilement jaloux, car il croit en la pureté et le romantisme de l’amour courtois, et ne supporte pas que la personne qu’il courtise soit approchée (ou même regardée) par d’autres. S’il vous porte dans son cœur, soyez sûrs que vous ne manquerez jamais de rien. A l’inverse, s’il ne vous aime pas, attendez-vous à le comprendre assez rapidement, grâce à de petites piques acerbes qui atteignent toujours leur but – et avec le sourire, s’il vous plaît. Kamijo est patient, profondément gentil, à la fois réservé, accessible et a toujours l’air engageant. Il est également sociable et aime participer à des réunions et autres soirées mondaines pour y rencontrer toujours plus de monde (il aime être entouré).
Il aime : le monde, la lumière du soleil, chanter (sa passion de toujours), lire, écrire (essentiellement des chansons), rendre les gens heureux, enseigner.
Il n’aime pas : ne pas pouvoir aider, ses crises de page blanche, être enfermé trop longtemps, l’obscurité, quand il est malade (et ne peut donc pas chanter), quand on cherche à le mettre en colère.
Histoire [ 15 lignes minimum ] :





~ THE BEGINNING ~


Kamijo Yuuji est né à Kaga un jour d’hiver, dans une famille aimante et pleine de vie. Il est fils unique, et donc l’enfant prodigue, l’enfant choyé, à qui l’on passe tous ses caprices. A cinq ans, il décide qu’il veut devenir chanteur et entre dans une chorale, où il devient rapidement soliste. A dix ans, il commence des cours de chant lyrique, qu’il arrête une fois qu’il en a tiré tout ce qu’il pouvait en tirer (selon lui). De toute façon, il n’a pas encore mué, alors à part apprendre la technique telle quelle, il ne peut pas encore faire grand-chose. Alors qu’il n’a que onze ans, et est seul chez lui pour la soirée (ses parents travaillent ensemble et sont à une réunion avec leur équipe), il reçoit un coup de téléphone de son grand père : ses parents ont eu un accident au retour, leur voiture est tombée dans un fossé et ils sont tous deux morts sur le coup. Désorienté et forcé de vivre avec ses grands parents pour qui il n’éprouve que de l’indifférence, Kamijo se raccroche au chant et à la littérature, ses deux grandes passions, jusqu’à l’âge de dix-huit ans, âge auquel il sort du lycée. A ce moment là, il décide de s’émanciper et de partir à tire d’ailes vers de nouveaux horizons. C’est à Tokyo qu’il finit par s’échouer. Là-bas, en traînant dans les bars et grâce à son naturel sociable, il se fait facilement et très rapidement des amis, et entame une colocation… plutôt mouvementée. Ca ne l’empêche en aucun cas de commencer de brillantes études de Lettres dans une faculté très réputée dont il avait réussi les concours. Là-bas, il rencontre Jasmine…





~ THE AMAZING [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] LOVE ERA ~



-Dis, Kamijo… (Jasmine esquissa un sourire et leva son verre pour le poser contre la joue brûlante de son amant) Tu m’aimes ?

Kamijo sourit à son tour, amusé et lui prit le verre des mains.

-Tu bois trop. Oui, je t’aime. Un jour, tu verras, ça va te porter préjudice, tes conneries.
-Tais-toi… Je suis jeune, non ? J’ai le droit de m’amuser un peu, papa !

Le jeune étudiant n’ajouta rien, sachant de toute manière pertinemment que ça n’était absolument d’aucune utilité. Jasmine faisait toujours exactement comme bon lui semblait, quoi qu’il puisse lui dire pour le faire changer d’avis. Et, bien sûr, ça faisait partie des choses qu’il trouvait absolument adorables chez lui. Sa spontanéité, sa classe innée, son adorable sourire et son carré plongeant. Son regard un peu pervers parfois, quand ils étaient tous les deux dans le lit minuscule de Kamijo, dans sa chambre d’étudiant de huit mètres carrés. La douceur et la tendresse de ses mains aux extrémités un peu rudes, à cause de la basse qu’il pratiquait à haut niveau. Tout, exactement tout en Jasmine lui plaisait, et il aimait jusqu’à son moindre petit défaut, chacun des clignements de ses yeux aux cils interminables, chaque phrase qui sortait de sa bouche parfaite, chaque tressaillement de son corps, chaque cambrure de son dos, la rondeur et la finesse, tout à la fois, de sa chute de reins, la longueur de ses jambes, l’étroitesse de sa taille et la courbe presque féminine de ses hanches. Jasmine était son égérie, son modèle, sa muse. Bien plus que son amant, il était aussi son amour, son unique raison d’être, d’exister pleinement, purement et simplement.

Mais un tel bonheur n’était pas fait pour durer…




I said don't do it babe
Said it ain't worth it babe
But you did it anyway
Four or five drinks and you were on your way
Everything's cool on the straight away
But you took that turn doing eighty-five in a thirty-five
Why babe?

Every time I'm home I pass that road
Driving alone and the street feels cold
Seeing your face yeah it's haunting me
My mind goes crazy trying to figure out
Just where you would be four years from now
And what you were thinking when the lights came down…



Kamijo se détourna du corps entubé et drapé de blanc de Jasmine et retint ses larmes avec force. Il ne devait pas pleurer, pas devant toute la famille de son amant, pas alors même qu’ils avaient tant de mal à accepter sa présence. Et surtout pas avec ce qu’il devait leur annoncer.
Un soir qu’ils étaient tous deux ivres morts, Jasmine avait fait promettre à Kamijo que s’il lui arrivait quoi que ce soit et qu’il se retrouvait en mort cérébrale, il devait demander aux médecins de le débrancher. Coûte que coûte, cette promesse devait être respectée. Mais il devait le dire à la famille. Après avoir réajusté l’écharpe qui tenait son bras multiplement brisé, Kamijo claudiqua lamentablement vers la mère de Jasmine qui était assise, enserrée dans ses propres bras, soutenue par celui de son mari qui était simplement posé sur ses épaules. Après avoir ravalé sa salive plusieurs fois pour s’humidifier la bouche et chassé les cheveux qui collaient à son front, et donc à ses bandages, le jeune étudiant finit par murmurer :

-Kageyama-san… Il faut que… Jasmine…
-YUUICHI !! Corrigea le père en levant vers Kamijo des yeux pleins de colère.
-Yuuichi… m’avait fait promettre que s’il lui arrivait quelque chose, je devais vous dire de… le débrancher. Il ne souhaitait pas rester dans le coma, ni se réveiller plus tard sans sa conscience, sa véritable conscience. Kageyama-san, je vous en prie… Ne le laissez pas comme ça…

La mère de Jasmine eut alors un réflexe malheureux : elle se leva et asséna une gifle magistrale au pauvre Kamijo encore convalescent.

-Comment oses-tu ?! Tu le connaissais à peine ! Et puis… (Elle renifla et pointa violemment le jeune homme décontenancé du doigt) Pourquoi est-ce que TOI tu as survécu avec quelques égratignures, hein ?! Alors que mon fils est dans le coma, en mort cérébrale !! Tu me dégoûtes !! Sors de cette pièce, je ne veux plus jamais te revoir !!

Et il s’exécuta, son cœur le faisant cent fois plus mortellement souffrir que ses… égratignures.





~ THE HARDEST UPRISING EVER ~



Après, tout se passa très vite. A la fin de son Master, il fut embauché quasi immédiatement dans une petite boîte de journalisme, à Kaga, sa ville natale, où il fut ravi de retourner, et où il échappa tant bien que mal au souvenir de Jasmine – qui n’était même pas mort en plus, ce qui l’empêchait de faire totalement son deuil. Dans sa société, il fit la rencontre d’un très grand journaliste du nom de Seiryû Tanaka, que ses amis surnommaient « Seme-kun », à cause de sa personnalité à la fois dominatrice et manipulatrice. Bien que n’étant pas son ami proche, Kamijo le fréquenta tout de même assez longtemps, allant souvent au bar avec lui, parlant de journalisme et d’écriture. Lorsqu’il lui montra ses chansons, Seiryû s’efforça de lui donner un avis objectif sur ce qui allait et n’allait pas, et lui permit de progresser grandement. En somme, ils finirent par se rapprocher un tant soi peu, surtout à cause du travail. Puis, un jour, il fut amené à se rendre chez Seiryû à une heure plutôt tardive pour lui apporter des documents relatifs à un projet sur lequel ils travaillaient ensemble. Ce fut Sakurako, l’actuelle maîtresse du journaliste, qui ouvrit la porte. Elle dit alors à Kamijo que son compagnon était occupé et qu’il pouvait, s’il le souhaitait, patienter au salon le temps qu’il arrive, autour d’une bonne tasse de thé. Le sourire de la jeune femme sonnait faux, et son regard était torve. Kamijo prétexta rapidement une envie pressante pour s’extraire de l’ambiance étrange qui régnait dans la pièce. Quand il fut dans la salle de bains, située juste à côtés de la chambre du fils de Sakurako, et qu’il eut terminé de se laver les mains, il entendit un premier cri enfantin, puis un second, plus aigu et plus suppliant encore. « Pitié, Seme-san », entendit-il avec horreur. « Pitié, pitié, laissez-moi… ». Un court instant, Kamijo se demanda s’il n’avait pas rêvé. Avec tout le bruit que faisait l’enfant, Sakurako NE POUVAIT PAS ne pas entendre, c’était parfaitement impossible ! Alors c’était sans doute qu’il hallucinait.
Puis il entendit Seiryû jouir et plus aucun doute ne fut possible.
Alors qu’il se précipitait dans le couloir pour porter secours au petit garçon, il tomba sur Seiryû qui boutonnait son pantalon et réajustait sa cravate. Son sourire donna la nausée à Kamijo qui se dépêcha de détourner le regard et de pousser son supérieur pour accéder à la chambre du fils de Sakurako.
Ce qu’il vit quand il entra le fit frissonner d’horreur.
Le tout petit garçon d’une dizaine d’années tout au plus avait le visage collé au tapis et les genoux toujours pliés, les fesses en l’air. Il n’avait visiblement même pas eu le temps de se remettre de ses émotions et pleurait toutes les larmes de son corps, ses poings minuscules serrés autour de ses cheveux fins, des cheveux de bébé, des cheveux d’ange. A l’arrière de ses cuisses qui tremblaient comme des feuilles mortes au gré du vent, deux minces lignes carmin s’écoulaient avec la lenteur d’un paresseux dragon pourpre qui s’enroulerait autour des nuages. Il ne faisait pas de bruit, ne disait rien, ne criait pas. Comment pouvait-il rester aussi calme après qu’une chose pareille lui soit arrivée ? Il ne faisait que pleurer, pleurer en silence, déverser par ses yeux tout son dégoût et toute son amertume.
Lentement, pour ne pas l’effrayer, Kamijo s’approcha et le prit dans ses bras comme une princesse pour ensuite l’asseoir sur son lit et l’ausculter sommairement. Visiblement, rien n’était cassé, ce n’était qu’une trop grande irritation qui avait provoqué le saignement. Seiryû n’y était certainement pas allé de main morte dans la pauvre intimité étroite de cet enfant qu’on forçait à grandir trop vite et à faire des choses d’adultes. Les yeux vitreux du petit garçon accrochèrent ceux de Kamijo, et il put lire en leur sein toute la détermination et la douleur du monde. Un contraste qui lui détruisit le cœur, et qu’il ne parviendrait, par la suite, jamais à oublier.
Il passa ensuite de longues minutes à bercer gentiment et à rassurer le garçon qui lui semblait si petit, dans ses bras. Il apprit ainsi que son nom était Kazuki, un joli petit nom pour un joli petit ange, et qu’il vouait à sa mère un culte qui frisait l’hystérie. Il n’avait pas l’intention de fuir, ni même de parler de cela à qui que ce soit. Il voulait juste rester, et protéger sa maman en faisant rempart de son corps (et c’était le cas de le dire) face aux impétueux amants que celle-ci ramenait toujours, sans jamais pouvoir les satisfaire elle-même.





~ SWEET [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] ESCAPE~




-Sakurako, écoutez-moi.

La jeune femme rejeta en arrière ses longs cheveux d’ébène et fixa son regard furibond sur Kamijo, ne s’arrêtant de faire les cent pas qu’un court instant, soit le temps de le fusiller des yeux.

-Les policiers ne m’ont pas cru, Sakurako. Ils disent que ce n’est pas la première fois, que Kazuki est psychotique, qu’il les… qu’il les chauffe. Mais moi je sais que ce n’est pas vrai. (Son regard bleu clair se durcit) Il ne veut pas partir d’ici sans vous, mais il faut à tout prix l’éloigner de ces hommes qui lui veulent du mal, vous comprenez ? Tous, ils lui passent dessus, n’est-ce pas ? Les uns après les autres, et vous vous laissez faire ça !
-Je suis fatiguée, Kamijo. (Sakurako paraissait froide comme la neige) Fatiguée de devoir faire semblant auprès d’eux, faire semblait de tenir à eux. C’est tellement plus simple quand ils le touchent… lui. C’est tellement moins dur pour moi que quand ils insistent pour me grimper dessus en criant comme des gorets.
-Et vous préférez qu’ils fassent les porcs sur votre fils ?! (Kamijo soupira pour se calmer, desserrant ses poings car ils étaient si serrés que ses ongles avaient marqué ses paumes) Vous avez de la chance que je rechigne à frapper une femme… Je vous en prie, Sakurako, je vous en supplie, venez avec moi tous les deux. Venez à Tokyo, vous aurez d’autres amants là-bas, au moins vous serez loin de Tanaka-san et du passé de Kazuki, je suis même prêt à les laisser ME passer dessus si vraiment vous ne voulez pas qu’ils vous touchent mais je vous en prie, Sakurako, je vous en supplie, si vous avez encore un cœur prisonnier dans toute cette glace, laissez-moi le protéger…
-Vous êtes dégoûtant. (La voix de la chanteuse était sans appel) Sortez d’ici et ne remettez plus jamais les pieds chez moi. Vous prétendez vouloir vous occuper de mon fils, le protéger, mais jamais il ne sera aussi bien qu’auprès de sa mère, l’unique parent qu’il lui reste. Si je vous reprends à tourner autour de mon petit garçon, je vous ferai coffrer pour tentative d’enlèvement avec préméditation. Je suis parfaitement claire ?

Et pour la seconde fois en moins de cinq ans, Kamijo fut contraint de fuir passé et souvenirs.





~ I’M COMING BACK HOME ~




Ce n’est qu’après deux années de plus passées à Tokyo à apprendre le métier de professeur que Kamijo revint finalement à Kaga, sa terre natale, sa ville. Il avait postulé pour y enseigner la littérature, et avait immédiatement eu le poste – il pouvait dire merci à son expérience de journaliste et à son acte de naissance pour cela. Evidemment, il n’avait pas oublié. Il n’avait pas oublié Kazuki et Sakurako, et comptait bien retrouver celui qui avait été un petit garçon et était sans doute, depuis, devenu un beau jeune homme, et lui faire comprendre que quoi qu’il puisse arriver il serait là pour lui, cette fois-ci, Sakurako ou pas Sakurako. La fois précédente, le petit garçon n’avait pas voulu le suivre, préférant rester auprès de sa froide mère. Mais peut-être que cette fois ça serait différent, après tout ! Enfin. Kamijo n’était pas seulement là pour Kazuki. Jasmine ne s’était évidemment pas réveillé de sa mort cérébrale, bien qu’étant resté branché durant toutes ces années, et le jeune professeur préférait continuer de fuir ce souvenir qui le hantait, le souvenir de sa toute première rose, de son tout premier amour. Après tout, à Kaga, peut-être trouverait-il quelqu’un capable de lui redonner confiance en ce sentiment. Quelqu’un qu’il pourrait aider, et aimer, comme avant.

Quelqu’un qui lui ferait perdre cette douloureuse impression qu’il détruisait tout ce qu’il touchait.


Qui êtes vous ?

Pseudonyme : Arisu~Cocaïne Itsuwari
Age : 19 ans (j’avais commencé par écrire « 189 » mais c’était pas crédible)
Expérience : De nombreuses années. Est-ce que ça fait de moi une bonne joueuse ? A vous de me le dire !
Revenir en haut Aller en bas
http://arisuxcocainefanfictions.e-monsite.com
Jin

Jin


Messages : 140
Date d'inscription : 19/08/2012

Kamijo ~ The Curse of the Rose.  Empty
MessageSujet: Re: Kamijo ~ The Curse of the Rose.    Kamijo ~ The Curse of the Rose.  Icon_minitimeLun 22 Oct - 21:04

Tu es validé !
Bienvenue à toi o/
Revenir en haut Aller en bas
Kamijo

Kamijo


Messages : 31
Date d'inscription : 22/10/2012
Localisation : Au lycée, salle de littérature.

Kamijo ~ The Curse of the Rose.  Empty
MessageSujet: Re: Kamijo ~ The Curse of the Rose.    Kamijo ~ The Curse of the Rose.  Icon_minitimeLun 22 Oct - 21:05

Sankyou I love you
Revenir en haut Aller en bas
http://arisuxcocainefanfictions.e-monsite.com
Contenu sponsorisé





Kamijo ~ The Curse of the Rose.  Empty
MessageSujet: Re: Kamijo ~ The Curse of the Rose.    Kamijo ~ The Curse of the Rose.  Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 
Kamijo ~ The Curse of the Rose.
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Eiki Institute :: Avant propos :: Pour se dévoiler :: Présentations validées-
Sauter vers: